À l’aube de 2020, un état des lieux en 20 points
Au tournant de l'an, au moment où 2019 laisse la place à 2020, quels sont les éléments saillants du paysage de Géoclip ? Voici, en 20 points précisément, une photographie de la situation actuelle.
- > l'entrée d'EMC3 dans Ciril GROUP pour une intégration de Géoclip à la gamme de logiciels GEO
- > une équipe en partie renouvelée, et renforcée encore en compétences statistiques et géomatiques (traitements avancés avec les logiciels R et Qgis)
- > une visibilité croissante sur internet et les réseaux sociaux, et un observatoire de démonstration France découverte toujours très consulté
- > une offre de données enrichie et actualisée en continu, sous forme de Collections prêtes à l'emploi
- > une mise à disposition de fonds de carte sur tous les maillages disponibles en France (y compris carroyés), qui prend en compte leurs évolutions annuelles
- > une interface Géoclip Air traduite en plusieurs langues (allemand, anglais, espagnol, néerlandais ainsi que, en test, arabe et portugais brésilien)
- > des observatoires à destination du grand public, comme Géodes, de Santé Publique France et l'Observatoire des Territoires
- > des observatoires au service des professionnels, rendant accessibles des données spécialisées et sensibles comme la Cartographie hospitalière du PMSI
- > des observatoires au service des territoires pour développer des outils de prospective, comme DataÉco des CCI de Nouvelle Aquitaine
- > des observatoires au-delà des frontières hexagonales, comme l'Atlas interativo de España, l'Atlas numérique de Belgique et Local Health de Public Health England, bientôt "on Air"
- > des projets de coopération internationale, comme la création d'un observatoire épidémiologique sur la Mauritanie, pour l'Organisation Mondiale de la Santé
- > des perspectives de développement à l'échelle internationale : Amériques, Afrique...
- > des fonctionnalités utilisateurs qui continuent de s'enrichir, la sélection géographique à partir d'isochrones, de nouvelles cartes de flux...
- > des exports démultipliés (SVG pour les cartes, toutes les données d'un rapport en format tableur)
- > de nouvelles possibilités à venir d'intégrer des fonctions et data-visualisations Géoclip dans des pages web, à partir d'APIs dédiées
- > des outils d'administration consolidés, utilisables par des non-informaticiens, pour piloter finement tous les aspects d'un observatoire Géoclip Air
- > la sécurisation des opérations de maintenance et de publication avec les outils de réplication
- > le support de SQL Server (en complément de MySQL, PostgreSQL, Oracle) qui conforte le caractère tout-terrain de Géoclip Air
- > une offre d'hébergement facilitée sur les serveurs de SynAAps
- > la possibilité de connecter n'importe quel observatoire Géoclip à un autre observatoire, avec le protocole TJS (standard OGC)
Les points 5, 9, 10, 15 et 20 feront ultérieurement l'objet de publications sur ce blog. À suivre !